Le suis la salope de pas mal, la putain de quelques-un, l'amour d'un seul.
Réflexion sur le SM
Je pense qu'il faut distinguer respects de fond (natifs) et respects de forme (amenés) et mieux éclairer les espaces prévus qui s'aménagent entre ces deux pour que viennent s'y lover tous les irrespects de nature dans lesquels Sapiens aime descendre et ce, qu'ils soient consentants ou non souhaités, dans ce que ce genre de rencontres implique mise au ban des libertés individuelles et d'études des profondeurs, de mise en abîmes faisant du déséquilibres un équilibre en soi, voulu pour sa précarité, redouté mais nécessaire.
Je veux pouvoir manipuler à volonté objets sexuels, putains salopes, sales pédés, bouche à merde, jouer du crachat, de la ceinture, de la pisse, être infecte lorsque je baise ou qu'un garçon le soit avec moi dans ce laps de temps prévu aux irrésolutions les plus impérieuses.
Donc même quand ça me laisse un œil au beurre noir sachant que je n'aurais pas nécessairement choisi ce modèle afflictif, il couvre la sérendipité des plaisirs que j'appelle de mes vœux qu'un autre exhausse de manière saccadée et involuptueuse.
C'est l'initiative solitaire et vicieuse d'un garçon qui prit celle de me chier dessus sans prévenir qu'est née mon envie de multiplier les excursions scatologiques que je connais. C'est comme de la randonnée ou de l'escalade, je découvre de nouveau parcours. Je n'irais pas dans la haute montagne du SM mais je veux pouvoir, à mon rythme me frotter à l'hiver rigoureux de ces hommes nus qui vous foncent dessus pour se soulager eux, et eux seuls.
Le suis la salope de pas mal, la putain de quelques-un, l'amour d'un seul.